lundi 5 avril 2010

Hope there's someone nice to hold when I'm tired

Comment expliquer le goût de la peau, son incommensurable douceur, la justesse des corps endormis? Comment décrire ces fourmillements qui parcouraient nos pieds, les regards insaisissables, les frissons à profusion et cette sensation de vertige? Tenter d'amener toutes ces perceptions dans un monde solide et concret conduirait inévitablement à un mensonge..

1 commentaire:

2501 a dit…

C'est pour ça qu'ils sont tous des menteurs ?
Les mentors, des âmes des "tous" et des "riens", surtout des "riens", déforment, suivis par tant, mais qu'est-ce qu'ils relient ?

Leur véracité est mensongère, dulcinée forcée de leur paupières, elle ne combat que dans un sens.

Qu'est ce qui peut-être vrai, perçu à travers le globe sentimental.

Pourtant, pourtant rien n'est vrai mais tout est réel.

Enfin moi je pense cela vrai.
(et trouve votre texte bien écrit)